Petiboukamwa

Peon Nombre de messages : 3 Age : 35 Date d'inscription : 14/02/2008

La jeune chevalière s'avança devant l'entrée du château des Chevaliers de l'Apocalypse. Levant la tête en direction de la meurtrière, elle déclara à haute voix :

*Je me nomme lady Petiboukamwa, chevalière de l'Alliance de la Lumière et ambassadrice de ma guilde. Je viens en ce lieu en totale sympathie et n'ayant en aucun cas de mauvaises intentions envers votre guilde. Je vous laisse libre de décider de mon accès à votre château et respecterais votre décision qu'elle quelle soit.*

Continuant à regarder le château qui se tenait devant elle, elle attendit une réponse.

Voyant arrivé une jeune étrangère du haut de la tour de garde, Lurtz descendit afin de connaitre les raisons de sa venue.

Sortant discrètement par un petit passage sur le côté de l'entrée du château, Lurtz se glissa délicatement derrière la jeune femme, sortant son épée la plaqua soudainement sur la gorge de l'étrangère et lui demanda ce qu'elle venait faire ici.

"Je me nomme lady Petiboukamwa, chevalière de l'Alliance de la Lumière et ambassadrice de ma guilde. Je viens en ce lieu en totale sympathie et n'ayant en aucun cas de mauvaises intentions envers votre guilde. Je vous laisse libre de décider de mon accès à votre château et respecterais votre décision qu'elle quelle soit."

"Soit et si je décidais de te trancher la gorge ici et maintenant ???"

Puis il enleva doucement son arme du coup de la jeune femme qui tremblait encore, se demandant d'où il était sorti...

S'adressant aux gardes qui tenaient la porte et qui avaient assistés à toute la scène du haut de la meurtrière, Lurtz leur ordonna de faire ouvrir les portes et de faire préparer une des suites réservées aux ambassadeurs de guilde.

Il la conduit personnellement à sa chambre avant de lui dire ceci :

"Vous pouvez vous reposer et vous ressourcer en toute sécurité, veuillez m'excuser pour l'accueil que je vous ai réservé mais nous sortons d'une guerre plutôt rude et j'étais encore un peu sur les nerfs de n'avoir pas pu y participer aussi activement que je l'aurais voulu. Rejoignez-moi à la taverne quand vous vous sentirez prête afin que nous discutions des raisons de votre présence ici, vous n'aurez cas demander à ce garde de vous y emmener quand vous le souhaiterez."

Lurtz fit signe à l'un des gardes de se tenir devant la porte de la chambre de l'ambassadrice et de la mener à la taverne quand celle-ci le lui demandera.